Au contact de la nature, le cerveau des enfants « pousse » mieux.
Résultat : de meilleures capacités de mémoire, de concentration, de régulation émotionnelle.
Être au contact de la nature favorise notre bien-être physique et psychologique.
Plusieurs études observent une réduction du stress et de la dépression, favorisée par l’environnement naturel et, à l’inverse, une amélioration de l’estime de soi, du sentiment de bonheur ou encore de la créativité
La marche au grand air renforce le système immunitaire. Selon une autre étude japonaise, les phytoncides, des molécules sécrétées dans l’air par les arbres et les forêts, ont pour effet de faire baisser la pression sanguine lorsqu’on les inhale.
Alors, n’oubliez pas de respirer à plein poumons !
En effet, la nature ne se contente pas de limiter le risque de maladies, mais nous prodigue en plus de cela un sentiment de bien-être général : une véritable plus-value physique mais également psychologique.
Ainsi, le fonctionnement de notre corps se trouve grandement amélioré après un séjour en nature, aussi bref soit-il.
Respirer une dose d’air frais ou encore faire quelques pas dans les bois, permet entre autres de réduire notre pression artérielle, de faciliter notre circulation sanguine, de renforcer nos capacités musculaires, et joue un rôle important dans la lutte contre l’obésité ainsi que contre de nombreuses autres maladies, dont le cancer.
Pour autant, la nature fait également du bien à notre cerveau, notamment grâce à la diminution importante du sentiment de stress qu’elle procure.
Il en va de même pour notre capacité d’attention qui, trop souvent détournée par les écrans, se retrouve enfin libre de se concentrer sur des choses simples, mais essentielles.
Et puis, le simple fait de nous émerveiller peut aussi être très agréable.
Le biologiste Edward O. Wilson va même jusqu’à proposer le terme de biophilie : un besoin vital qui s’expliquerait par l’affinité intrinsèque qu’entretiendrait l’homme avec son milieu naturel, et son besoin inné de rechercher sans cesse des connexions avec le reste du monde vivant.
En somme, il est assez logique d’affirmer que l’être humain se sent mieux en étant en immersion dans la nature, plutôt qu’en étant coincé entre les murs noircis d’une mégalopole
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Certains citadins sont même aujourd’hui devenus adeptes de la sylvothérapie, une pratique venue du Japon qui consiste à se connecter avec les arbres, en les enlaçant.
L’idée peut sembler ridicule, pourtant ces derniers boosteraient nos défenses grâce aux phytoncides qu’ils produisent : des molécules réputées pour leurs propriétés à la fois revivifiantes et anti-cancer
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